13/1/13

Questions utiles, les expressions et locutions en français

Les questions utiles

-Habla usted español?:  Parlez-vous espagnol?
-Como estas?: Comment ça va?
-Puede usted ayudarme por favor?: Pouvez-vous m'aider, s'il vous plaît?
-Como se llama usted?: Comment vous appellez-vous?
-Que hora es?: Quelle heure est-il?
-Que tiempo hace?: Quel temps fait-il?
-Cuanto cuesta? Combien coûte?
-Donde esta?: Où est?
-Donde estan los baños?: Où sont les toilettes?
-Cuando?: Quand?
-Por que?: Pourquoi?

Expressions pratiques

-Hola: Bonjour. Salut
-Buenos dias: Bonjour
-Adios: Au revoir
-Hasta pronto: à bientôt
-Por favor: s'il vous plaît
-Gracias: Merci
-Me llamo... : Je m'appelle...
-Auxilio:  à l'aide. Au secours
-Estoy enfermo: Je suis malade
-Cuidado!: Attention!
-Estoy perdido: Je suis perdu
-Llamen a un medico!: Appelez un medicin

Certaines expressions communes françaises


-Llueve a cantaros: Il tombe des cordes
-Vamos! Haz un pequeño esfuerzo: Allez! Un petit effort
-En mi opinion: à mon avis
-Por supuesto: Bien sûr
-De nada: De rien
-De acuerdo: D'accord
-Jamas: Jamais de la vie
-Pues, que bien: Tant mieux
-Hace frio: Il fait froid
-Es un hecho cumplido: C'est un fait accompli
-Dar un paso en falso (coloquialmente ''meter la pata''): Quel faux pas
-Como debe ser: Comme il faut
-Buen provecho: Bon Appétit
-Que horror!: Quelle horreur!
-Oh là là! La catastrophe!: Es una expresion utilizada por una persona que no se se toma muy enserio la consideracion que hace otra sobre la gravedad de una situacion.
-Nos vemos en un rato: à tout à l'heure
-Asi es la vida!: C'est la vie!
-Mas o menos: Comme ci, comme ça
-Es el tono el que hace la musica (Lo importante al hablar no es tanto el contenido de la frase sino el tono con que se dicen): C'est le ton qui fait la musique!
-Me dio mucho gusto!: ça m'a fait très plaisir!
-Estuvo genial!: C'était genial!
-Hagame una llamada!: Passez-moi un coup de fil!
-Yo voy a llamarlo a usted: Je vais lui/leur passer un coup de fil
-Vamos!: On y va! , Allons-y!
-No tengo ni idea: Je n'en sais rien
-Pero estoy soñando: Mais je rêve!
-Que amor de niño!: Quel amour de petit garçon!
-Esta prohibido!: Vous n'avez pas le droit!
-No hay que buscarle tres pies al gato: Tu cherches midi à 14heures
-Quiero comprar una cosita: Je veux acheter une bricole
-Vamos a tomarnos algo!: Prenons un pot!




Les jours, les mois et les saisons

Les jours de la semaine

Lunes: Lundi
Martes: Mardi
Miercoles: Mercredi
Jueves: Jeudi
Viernes: Vendredi
Sabado: Samedi
Domingo: Dimanche



Les Mois

Enero: Janvier
Febrero: Février
Marzo: Mars
Abril: Avril
Mayo: Mai 
Junio: Juin
Julio: Juillet
Agosto: Août
Septiembre: Septembre
Octubre: Octobre
Noviembre: Novembre
Diciembre: Décembre



Les saisons

Primavera: Printemps
Verano: été
Otoño: Automne
Invierno: Hiver


2/1/13

Centre Georges Pompidou


En 1969, le Président Pompidou décide d’affecter le plateau Beaubourg à la construction d’un centre culturel pluridisciplinaire d’un type entièrement nouveau , nouvelle impulsion donnée à plusieurs projets qui ont jusque là échoué : Le projet de construire à Paris une grande bibliothèque de lecture publique accessible au plus grand nombre envisagé depuis la Libération. Ou par ailleurs, la réhabilitation du musée national d’art moderne, installé dans l’une des ailes du Palais de Tokyo qui était dans un état de quasi-abandon faute de moyens et d’espace.
Outre la création d’une nouvelle bibliothèque et le transfert du musée national d’art moderne, le projet englobait au sein du nouveau Centre les activités du Centre d’art contemporain installé rue Berryer et la petite équipe qui, autour de François Mathey, avait développé au sein du musée des arts décoratifs une politique dynamique d’expositions d’art contemporain.
Vint s’ajouter dès 1970  le projet d’un centre de création musicale organisé selon les vues du compositeur Pierre Boulez, qui avait pris, quelques années auparavant, la décision de quitter la France pour protester contre la situation de la musique contemporaine dans notre pays et à qui la création de l’Ircam donnerait enfin la possibilité de rentrer dans notre pays.
Un grand concours d’idées est lancé, auquel peuvent participer, pour la première fois dans notre pays, les architectes du monde entier. 681 concurrents, originaires de 49 pays différents, présentent un projet.
Le projet de trois architectes associés est retenu par le jury international , présidé par l’architecte-ingénieur Jean Prouvé : deux Italiens, Renzo Piano et Gianfranco Franchini, et un Anglais, Richard Rogers, alors quasi-inconnus. Renzo Piano et Richard Rogers assurèrent seuls la conduite effective du projet et firent ensuite carrière séparément : chacun d’eux obtint le prestigieux Prix Pritzker, la plus haute distinction dans le domaine de l’architecture.
Aujourd’hui considéré comme un des  bâtiments emblématiques du XXe  siècle et adopté par les Parisiens, le bâtiment de Piano et Rogers, souvent comparé par ses détracteurs à une raffinerie de pétrole, suscite, tout au long des années 1970, une énorme polémique.
Le Centre Pompidou est inauguré le 31 janvier 1977 . Dès son ouverture au public, le 2 février 1977, il rencontre un immense succès, très au-delà de toutes les espérances. Il devient vite l’un des lieux culturels les plus fréquentés au monde et l’un des monuments les plus visités de France.
La fin des années 70 et les années 80 voient le Centre proposer des expositions qui marquent leur temps : la série des « Paris-… » (« Paris-New York », « Paris-Berlin », « Paris-Moscou », « Paris-Paris »), « Vienne, naissance d’un siècle », « les Immatériaux », « Mémoires du futur », « Cartes et figures de la Terre », « les Magiciens de la Terre »… Sous l’impulsion de ses directeurs, Pontus Hulten, puis Dominique Bozo, la collection du MNAM est considérablement développée et devient l’une des toutes premières au monde dans le domaine de l’art moderne et contemporain.
A la faveur d’une réforme globale de l’organisation du Centre Pompidou créant notamment le Département du développement culturel (Ddc) en réunissant les spectacles vivants, les cinémas et les activités de parole, la fusion du Mnam et du Cci permet la constitution d’une collection d’architecture et de design, devenue en vingt ans l’une des plus remarquables au monde.
Après vingt ans d’activité et après avoir reçu plus de 150 millions de visiteurs , le Centre Pompidou procède à des travaux de rénovation, à l’initiative du Président Jean-Jacques Aillagon. L’Etat alloue les crédits permettant de créer des espaces supplémentaires nécessaires à la présentation des collections et au développement des activités du spectacle vivant. Ainsi, 100 000 m2 de surface sont réaménagés entre octobre 1997 et décembre 1999. Le Centre Pompidou procède à une révision de son organigramme qui lui permet de mieux répondre à ses missions au sein du Mnam-Cci (inventaire, conservation, restauration et enrichissement du fonds) mais également pour les activités liées aux spectacles vivants et à la médiation.
Ainsi, le Centre Pompidou rouvre ses portes au public le 1er  janvier 2000  : le succès est de nouveau au rendez-vous, avec une moyenne de 16 000 visiteurs par jour en 2000.
Dès l’an 2000, le Président Jean-Jacques Aillagon lance le projet du Centre Pompidou-Metz, une institution sœur délocalisée du Centre Pompidou qui a été inaugurée le 10 mai 2010. Autonome, construit dans un partenariat étroit avec les collectivités locales messines, mais présidé par le président du Centre Pompidou et entretenant avec lui des liens étroits, il propose une programmation à la rencontre de tous les publics, en bénéficiant du savoir-faire du Centre Pompidou et d’un accès privilégié à la collection du Mnam, la première en Europe dans le domaine de l’art moderne et contemporain.
Voulu par  le Président Alain Seban et inauguré le 13 octobre 2011, le Centre Pompidou mobile est le premier musée nomade au monde, conçu pour aller aux devants du public qui ne va jamais au musée. Dans une structure légère, démontable et transportable, imaginée par l’architecte Patrick Bouchain, il présente une sélection d’une quinzaine de chefs d’œuvres de l’art moderne issus de la collection du Centre Pompidou.  

Plus de 76 000 œuvres constituent la plus grande collection en Europe d'art moderne et contemporain. Elle couvre les XXe et XXIe siècles à travers les artistes qui ont marqué de leurs œuvres la création foisonnante de ces dernières années.


LE BÂTIMENT


« Sur la Piazza et à l’extérieur du volume utilisable, on a centrifugé tous les équipements du mouvement du public. Sur le côté opposé, on a centrifugé tous les équipements techniques et les canalisations. Ainsi chaque étage est-il complètement libre et utilisable, pour toute forme d’activité culturelle connue ou à trouver. »

Renzo Piano, architecte du Centre Pompidou

L’ARCHITECTURE

Conçu comme un « diagramme spatial évolutif » par ses architectes, Renzo Piano et Richard Rogers, l’architecture du Centre Pompidou présente des caractéristiques techniques qui la rendent unique au monde. Son originalité provient en premier lieu de la souplesse d’utilisation des grands plateaux intérieurs : vastes de 7500 m² chacun, entièrement libres, leur aménagement est aisément modifiable. Grâce à l’utilisation de l’acier (15 000 tonnes) et du verre (11 000 m² de surface vitrée), les constructeurs ont imposé un grand bâtiment précurseur dès les années 70, dans un pays jusqu’alors adepte du béton. Le bâtiment du Centre Pompidou, dans son usage du verre et de l’acier, est aussi l’héritier des grandes architectures de fer de l’âge industriel, depuis le Crystal Palace de Paxton, en même temps que, futuriste à bien des égards, prototype à tous égards, il s’inscrit dans le droit fil des utopies architecturales d’Archigram et de Superstudio, dans les années 60.

LA STRUCTURE DU BÂTIMENT


La charpente métallique est constituée de 14 portiques supportant 13 travées, de 48 m de portée chacun, espacés de 12,80 m. Sur les poteaux, et à chaque niveau, viennent s'articuler des éléments en acier moulé, les "gerberettes", qui mesurent 8 m de long et pèsent 10 tonnes.

Les poutres, d'une longueur de 45 m, s'appuient sur ces "gerberettes" qui transmettent les efforts dans les poteaux et sont équilibrées par des tirants ancrés dans des barrettes. Chaque étage a une hauteur de 7 m entre planchers. La superstructure, en verre et en acier, enveloppe les grands espaces banalisés, conçus comme entièrement modulables et susceptibles de s’adapter à des usages évolutifs.

LE CODE COULEUR


Les couleurs ont été utilisées comme élément d’habillage de la structure, selon un « code » défini par les architectes :

- le bleu pour les circulations d’air (la climatisation) ;

- le jaune pour les circulations électriques ;
- le vert pour la circulation d’eau ;
- le rouge pour la circulation des personnes (escalators, ascenseurs).
C'est à ce "code couleur", comme symbole de la pluridisciplinarité du Centre Pompidou, que fait référence le titre du magazine programme trimestriel.

Web:  http://www.centrepompidou.fr/




26/12/12

Brigitte Bardot

Brigitte Anne-Marie Bardot naît à Paris, dans le quinzième arrondissement, le 28 septembre 1934.
Issues d'une famille bourgeoise, Brigitte et sa soeur Marie-Jeanne suivent une éducation classique. Leur père, ingénieur, oriente Brigitte vers des activités artistiques : danse, musique, chant.


En 1947, Brigitte Bardot suit les cours de Boris kniaseff au Conservatoire de Danse.


Sa beauté fait rapidement d'elle une jeune fille remarquée. Elle pose ainsi pour la première fois à quinze ans dans le célèbre magazine Elle. Puis à dix-huit ans, elle fait ses débuts au cinéma dans "Le trou normand" de Jean Boyer, aux côtés du grand Bourvil. 

La même année, elle fait la connaissance du réalisateur Roger Vadim, qu'elle épousera quelques mois plus tard, le 20 décembre 1952, alors qu'elle est encore mineure (la majorité à l'époque est à 21 ans). Tout va très vite pour cette superbe femme qui fait tourner les têtes jusqu'aux Etats-Unis, où elle tourne "Act of Love" avec Kirk Douglas en 1953. Plusieurs réalisateurs s'arrachent cette actrice hors du commun, pour sa beauté certes, mais surtout pour sa jeunesse provocatrice et impudique.

Brigitte Bardot et Roger Vadim le jour de leur mariage, le 20 décembre 1952.

Mais le déclic survient en 1956, lorsque sort dans les salles françaises "Et dieu créa la femme", réalisé par son mari Roger Vadim. Ce film est un des plus grands scandales de l'histoire du cinéma. Il conte l'histoire de Juliette qui, de façon jugée indécente, est convoitée par trois hommes très différents. Brigitte y apparaît nue face à Jean-Louis Trintignant dans une scène devenue mythique. Le film déclenche une véritable fureur autour de l'actrice et fait naître une "bardôlatrie" sans égal qui précipite le couple Vadim dans le chaos. Le divorce est prononcé en décembre 1957.

L'aventure Vadim aura duré 5 ans. Devenue une véritable star, la jeune femme, dans le fond émotive et timide, reste très sensible aux critiques et à sa médiatisation outrancière. Les jeunes femmes font d'elle leur idole, s'habillent et se coiffent comme elle. Les hommes succombent à son charme. Les médias et les cinéastes se l'arrachent. Rien n'arrêtera plus le mythe B.B.

Pendant des années, Brigitte enchaîne les films et les conquêtes. Parmi elles, Sacha Distel ou Jacques Charrier, jeune comédien qui deviendra en 1959, son deuxième mari, et avec lequel elle aura un enfant, Nicolas-Jacques Charrier le 11 janvier 1960.

Pour l'instant, la comédienne ne pense pas encore à la chanson. Elle se consacre pleinement au cinéma, et sa passion lui coûte son mariage. Elle divorce pour la deuxième fois en 1962 et confie la garde de son fils à Jacques Charrier, remarié. Période trouble intense pour la jeune femme qui, à bout de nerfs, tente de se suicider.

Son incursion dans la chanson viendra curieusement d'Argentine. C'est en effet en 1961 que débarque en France Jorge Vieira, chanteur argentin, interprète du célèbre titre "Brigitte Bardot" . L'année suivante, c'est au tour de Brigitte d'enregistrer son premier disque "C'est rigolo" . Ce qui ne l'empêche pas de tourner au cinéma avec les plus grands (Louis Malle, Godard, Molinaro, ...), et de vivre un troisième mariage éclair avec un industriel allemand Gunter Sachs.

Mais sa carrière musicale débute vraiment avec la rencontre de Serge Gainsbourg, qui lui avait déjà proposé une chanson en 1962. Devenu son amant en 1967, il va lui écrire ses plus grands succès :"Harley Davidson , Bonnie and Clyde , Contact , Comic Strip , Bubble Gum , Je t'aime moi non plus , Nue au soleil" , ... En tout, Brigitte Bardot interprètera quelques 80 morceaux qui, s'ils sont de valeurs inégales, lui permettent d'assurer définitivement son statut de chanteuse.

Présente sur tous les fronts de la vie publique, B.B. voit même son corps servir dès 1968 à la confection du buste de Marianne dans toutes les mairies françaises. Une consécration officielle qui atteint son apogée en 1985 lorsqu'elle reçoit le titre de Chevalier de la Légion d'Honneur. 

Dès 1973, sa carrière prend un tournant. Lasse de cette vie publique, elle prend la décision d'arrêter le cinéma et la chanson, après un dernier film avec Francis Huster"L'histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise". 

Désormais, elle se consacrera entièrement à la défense des animaux, cause pour laquelle elle avait déjà utilisé sa notoriété en 1962. Dès lors, l'actrice et chanteuse laisse place à la militante. En 1977, son action contre le massacre des bébés phoques fait grand bruit et conduit le gouvernement à prendre des décisions importantes. Avec la Fondation Brigitte Bardot, B.B. s'investit à fond dans cette cause et fédère un grand nombre d'écologistes et d'amoureux de la nature. Elle va même jusqu'à vendre aux enchères sa célèbre propriété La Madrague ainsi que de nombreux objets personnels, pour remplir les caisses de la Fondation. Victoire en 1986 lorsque celle-ci est déclarée par le gouvernement Association d'utilité publique.

Depuis des années, Bardot se fait rare. Remariée en 1992 avec Bernard D'Ormale, elle vit retirée du monde. Si elle défraie encore la chronique, c'est pour son franc-parler et son attachement à certaines idées d'extrême droite, ce qui lui vaut l'inimitié de nombreux médias et journalistes.

B.B. a été condamnée le 10 juin 2004 à une amende de 5 000 euros par le tribunal correctionnel de Paris, pour des propos incitant à la haine raciale, publiés dans son dernier livre "Un cri dans le silence" , paru aux Editions du Rocher en 2003. Poursuivie par le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples et la Ligue des droits de l'Homme, la comédienne française a également été condamnée à verser un euro de dommages et intérêts à chacune des parties civiles, ainsi qu'à la publication d'un communiqué faisant état de cette condamnation dans deux journaux.

Mais c'est bien vite oublier qu'elle fut et reste encore le symbole de la féminité, et un mythe indestructible. Avec plus de 50 films et 80 chansons à son actif en seulement vingt ans de carrière, Brigitte Bardot reste une des artistes françaises les plus magistrales.

Au-delà de ses activités extra-artistiques, elle a profondément bouleversé les mentalités et les comportements des années 50 et 60. Si elle a fédéré tant de grands artistes autour d'elle, elle a surtout réussi à s'imposer comme symbole de la nation en devenant la première artiste représentant la Marianne française. Privilège rare, auquel n'auront droit que trois autres femmes : Catherine Deneuve, Sophie Marceau et Laetitia Casta. 

FILMOGRAPHIE SELECTIVE
1952 - Le trou normand (Jean Boyer)
1952 - Manina, la fille sans voile (Willy Rozier)
1952 - Les dents longues (Daniel Gelin)
1953 - Le portrait de son père (André Berthomieu)
1953 - Un acte d'amour (Anatole Litvak)
1953 - Si Versailles m'était conté (Sacha Guitry)
1954 - Haine, amour et trahison (Mario Bonnard)
1954 - Hélène de Troie (Robert Wise)
1954 - Le fils de Caroline Chérie (Jean Devaivre)
1955 - Futures Vedettes (Marc Allégret)
1955 - Rendez vous à Rio (Ralph Thomas)
1955 - Les grandes manoeuvres (René Clair)
1955 - La lumière d'en face (Georges Lacombe)
1955 - Cette sacrée gamine (Michel Boisrond)
1956 - Les Week end de Néron (Stefano Vanzina)
1956 - En effeuillant la marguerite (Marc Allégret)
1956 - Et Dieu créa la femme (Roger Vadim)
1956 - La mariée est trop belle (Pierre Gaspard-Huit)
1957 - Une parisienne (Michel Boisrond)
1957 - Les bijoutiers du clair de lune (Roger Vadim)
1957 - En cas de malheur (Claude Autant-Lara)
1958 - La femme et le pantin (Julien Duvivier)
1959 - Babette s'en va t en guerre (Christian-Jaque)
1959 - Voulez vous danser avec moi? (Michel Boisrond)
1960 - L'affaire d'une nuit (Henri Verneuil)
1960 - La vérité (Henri-Georges Clouzot)
1960 - La bride sur le coup (Roger Vadim)
1960 - Les amours célèbres (Michel Boisrond)
1961 - Vie privée (Louis Malle)
1962 - Le repos du guerrier (Roger Vadim)
1963 - Le mépris (Jean-Luc Godard)
1963 - Une ravissante idiote (Edouard Molinaro)
1963 - Marie soleil (Antoine Bourseiller)
1965 - Chère Brigitte (Henri Koster)
1965 - Viva Maria (Louis Malle)
1965 - Masculin féminin (Jean-Luc Godard)
1966 - A coeur joie (Serge Bourguignon)
1967 - Histoires extraordinaires (Louis Malle)
1968 - Shalako (Edward Dmytryk)
1969 - Les femmes (Jean Aurel)
1970 - L'ours et la poupée (Michel Deville)
1970 - Les novices (Guy Casaril)
1970 - Boulevard du rhum (Robert Enrico)
1971 - Les pétroleuses (Christian-Jaque)
1973 - Don Juan 1973 (Roger Vadim)
1973 - L'histoire très bonne et très joyeuse de Colinot Trousse chemise (Nina Companeez)



Champagne-Ardenne



    
    Champagne-Ardenne est une région de France qui comprend quatre départaments: Aube, Ardennes, Haute-Marne et MarneLa région Champagne Ardenne est au nord-est de la France. Elle a une frontière commune avec la Belgique. Sa superficie est de 25606 km2. 
     La région a été crée en vertu du décret du 22 décembre 1789 et le 4 mai 1790 durant la Révolution française et comprend une partie des anciennes provinces de Champagne et en Argonne et de la principauté de Sedan. Durant le XXe Siècle, la Champagne Ardenne a été la scène de grandes batailles de la première et seconde Guerres mondiales.

ECONOMIE
     L’agriculture occupe le premier rang national pour sa production d’orge et de luzeme pour la déshydratation.   
     2ème place industrielle nationale de la betterave, des oignons et des protéines de poís.
     3éme place au niveau national pour la production de blé et de colza .
    Les ventes annuelles de bouteilles de Champagne sont de 263 millions de bouteilles

      Champagne Ardenne est la troisième Région métallurgique de France. 



DÉMOGRAPHIE
La population de la région a commencé à diminuer en 1982  en raison de l’exode rural. Avec seulement 0,5% de la population nationale et une densité de 52 habitants/Km2, la Champagne Ardenne est une des régions la moins peuplée de France .

TOURISME
     Les touristes sont enclins préférence de champagne Ardenne à la fois pour son histoire  et pour ses caves prestigieuses. Les emplacements et les itinéraires se diversifient à la découverte du patrimoine et de la gastronomie et de ses vieilles demeures Châlons-en-Champagne et le Cloître, Langres et ses murs; Epernay  et les rives de Marne, Reims, Colombey-les-deux-Églises.
      Une curiosíté  naturelle à voir dans le parc naturel de la Montagne de Reims: Les Faux de Verzy.

GASTRONOMIE
     L’originalité des produits du terroir doit son  prestige à cette région .

     Si seulement par sa cuisine riche et variée, la Champagne Ardenne mérite l’attention de découvrir chaque spécialité locale.

     Pour les amateurs de jeu, de la région Champagne Ardenne est célèbre par ses spécialités. Il ne faut pas oublierl’andouillette” de Troyes, spécialité typique de la ville, le jambon d’Ardenne et biscuits de Reims…..produits pour tous les goûts.

      Vous ne pouvez pas passer par cette région sans boisson au goût qui est devenu mondialement célèbre: le Champagne et bulles.

     L’autre joyau de la Champagne Ardenne est son  diamant gris: la truffe.  








NOTRE EXPOSÉ 
ALTUVE Mariangel et ARTEAGA Andrea


L'Hôtel national des Invalides

       L'Hôtel national des Invalides est un monument parisien dont la construction fut ordonnée par Louis XIV par l'ordonnance du 24 février 1677, pour abriter les invalides de ses armées. Aujourd'hui, il accueille toujours des invalides, mais également plusieurs musées et une nécropole militaire.


Il s'agit d'un complexe de sept bâtiments qui sont:
                                                               § Léglise des invalides
  § L'hôpital militaire des Invalides
        § Le panthéon militaire des Invalides 
        § Le Musée des Plans-reliefs
        § Le Musée de l'Armée
        § Le Musée de l’Ordre de la Libération
        § Le Musée d'Histoire contemporaine



Esthétisme et construction
      Le roi Louis XIV a choisi une conception par architecte Libéral Bruant qui consistait en un grand bâtiment impressionnant avec une cour royale et l'église.
       Le bâtiment est, en fait, double, même s'il existe une continuité architecturale : la nef constitue l’église des soldats, le chœur, sous la coupole, étant qualifié d’église du dôme. Cette distinction est concrétisée par la mise en place, en 1873, d'une grande verrière, séparant les deux parties.

Le panthéon militaire des Invalides
—  Plusieurs hommes de guerre français reposent aux Invalides.
—  À défaut de leurs dépouilles, plusieurs grands personnages militaires français ont seulement leur cœur inhumé aux Le plus important est le tombeau de Napoléon Bonaparte
—  Certains membres de la famille de Napoléon, plusieurs officiers militaires qui ont servi sous ses ordres, et d'autres héros militaires français sont enterrés aux Invalides également 



L’église des Invalides

L'église Saint-Louis des Invalides, conçue pour accueillir les pensionnaires de l'hôpital des Invalides, a été élevée au rang de cathédrale du diocèse catholique aux Armées. 
Louis XIV a voulu un bâtiment qui permettrait la participation à la même masse de soldats et le roi lui-même, mais que le souverain devait se mêler aux soldats. Enfin, Jules Hardouin-Mansart a donné la solution au problème en divisant le projet temple original dans deux églises distinctes, bien que doués de continuité architecturale: la Saint-Louis-des-Invalides, appelée "église des soldats», et l'église du Dôme, la prière pour le roi et la royauté. Invalides.






Visite:  http://www.musee-armee.fr/accueil.html

17/12/12

Le passé récent

Le passé récent sert a exprimer une action qui s'est réalisée dans un moment très proche de celui où l'on parle.
Seuls des indicateurs comme ''ce matin, tout a l'heure, il y a quelques minutes'' acceptent le passé récent.
Le passé récent se forme avec le verbe venir au présent d l'indicatif suivi de et d'un infinitif. (venir au présent de l'indicatif+de+infinitif)


PHRASES
-Je viens d'arriver
-Elle vient de téléphoner
-Ils viennent de sortir
-Vous venez de remporter une victoire
-Je viens d'ouvrir la porte
-Tu viens de faire le devoir
-Nous venons de trouver un emploi
-Nous venons de manger
-Vous venez de recevoir un télégramme
-Tu viens de voir une pièce de théâtre


Exercices